Geobiologie en Provence vous invite à
chercher...
Cherchons donc ensemble.
...Or on ne cherche pas dans le vide : qu'espérons-nous donc trouver ?
Voici un nouveau site de géobiologie ouvert aux internautes. Mais, de
radiesthésie ou géobiologie?, quel serait le terme le plus approprié?
Les deux termes évoquent les mêmes problématiques ; leur approche est pourtant
devenue sensiblement différente. Sans la moindre trace de jugement, disons que le
paysage socio-culturel de la radiesthésie fait référence à un monde plutôt rural, ancré,
qui aborde les phénomènes avec un mélange naturel de pragmatisme, d'intuition, de
ressenti brut et… d'idées toutes faites.
Sans jugement, disais-je, car on retrouve également des idées toutes faites chez
les tenants de la géobiologie, d'autant plus indéracinables qu'elles s'appuient sur de
nouveaux savoirs, acquis dans un univers plus urbain, globalement et disons-le
rapidement, plus instruit. Mais quand on mêle par exemple des croyances religieuses aux
phénomènes électromagnétiques... impossible de progresser avec de telles entraves.
Ce site se propose donc de poser des questions à la fois théoriques et pratiques sur
les phénomènes autrefois regroupés sous le terme de radiesthésie...Mais d'abord, de poser
des questions !
L'antienne habituelle, en fait : Pourquoi? Où? Quand? Comment?
Il s'agit de développer ici, avec vous, une volonté affirmée de clarifier les
concepts pour essayer de mieux comprendre les phénomènes rencontrés. Répondre à ces
questions est une toute autre affaire.
Il s'agit également et avec la même conviction de décrire et d'analyser les
phénomènes pour tenter de clarifier, de valider ou d'invalider les concepts impliqués.
Peut-être, au fil des articles, en réfléchissant tous ensemble, pourra-t-on mieux se
faire une idée de ce qu'est la géobiologie, mais aussi de ce qu'elle pas.
Nous aborderons les différents domaines par le biais d'une approche rationnelle
et critique. Devant la diversité des phénomènes et des enjeux intellectuels, rien n'est
acquis, on ne peut rien prendre pour évident. D'un autre côté, nier des phénomènes
répétibles et mesurables n'est pas une attitude sérieuse. Nous savons bien appliquer des
méthodes de mesure sur la résistance des matériaux, par exemple : c'est basique sur le
plan intellectuel et les outils de mesure existent.
Mais qu'on ne puisse mesurer d'une manière fiable les phénomènes de la
radiesthésie ne prouve en rien leur inexistence, seulement l'absence d'appareillage
adapté. Encore que les archéologues disposent à présent de techniques opératoires dont le
matériel, recouvrant très précisément une partie du domaine de la radiesthésie, procure
des résultats identiques…mais imprimables, ceux-ci. Les nôtres restent du domaine du
ressenti. Ce qui suffit à nous attirer les foudres des compteurs de pattes de mouche.
Croire, c’est dériver.
La négation systématique du domaine de la radiesthésie par une grande partie
de professionnels de la recherche n’en prouve pas du même coup, a contrario, tous les
paradigmes. Etre critiqué ne vous exonère pas d’être critiquable. Nier Dieu ne justifie la
réalité de la divinité qu’auprès d’intégristes sans cervelle, pardon pour le pléonasme.
Une personne sensée se contentera d’écarter poliment le faux débat.
C’est bien la question : nous devons et nous voulons nous adresser, comme
personnes sensées, à des personnes sensées. Il serait trompeur, malhonnête et malfaisant
de prétendre offrir en quelques mots une réponse calmante, soporifique et de fait
hypnotique aux questions naturellement posées par des êtres pensants sur la nature de
leur monde. Ce que font beaucoup de délirants.
Solutions inespérées, révélations, paroles magiques répondent à l’accablement,
aux doutes, au vécu de malheurs répétitifs dont la récurrence et l’empilement renforcent
une souffrance vraie. Et renforcent également l’idée que cette souffrance est détachée des
conditions de vie, de leur vie personnelle : la clé de la douleur ne serait pas dans le
contexte global d’exploitation et dans le bain d’injustice où nous vivons avec eux, mais
dans une sorte de persécution systématique de forces malignes, d’origine
extrasensorielle, paranormale, voire pour certains…extraterrestre.
Affirmations, certitudes, dogmes, aphorismes, théories invérifiables, citations
truquées, faux témoignages, manipulations mentales, illusions, mensonges avérés,
délires monomaniaques… réponses d’idéologues et de manipulateurs aux questions
naïves et si naturelles qui sautent sous nos pas, à chaque regard, comme les criquets
dans les champs.
Nous devons garder l’esprit clair
Devant la complexité du monde, il faut raison garder. Même si l’outil se limite à
nos capacités, la raison est la seule clé qui nous évite les plus pénibles embrouilles, car
c’est une clé dynamique dont la forme et les possibilités évoluent avec les découvertes.
Aucune Vérité ne nous attend derrière la porte, ni Grand Galactique, ni Bonheur
Suprême, ni Dieu, ni Maître. Rien. Derrière la porte, comme au bout de la vie, il n’y a
rien. Mais c’est ce Rien qui fait la grandeur de la quête. Notre finitude nous grandit,
notre petitesse nous ouvre l’infini. A l’infini nous accédons par notre infinitésimale et
fugace présence. Notre horreur face à ce vide total est source de joie. Nous résistons au
néant. Nous faisons face. Nous luttons. Etant ce que nous sommes, inutile de s’étendre sur
les fins dernières. Perte de temps, perte de vie ! C’est dans notre démarche de vivant,
parmi les vivants, que s’inscrit notre éventuel destin.
Observer, noter, étudier l'incompréhensible
Ceux qui se sont lancés sur les chemins incertains de la géobiologie découvrent
au bout quelque temps que la réalité physique et mesurable ne suffit pas à expliquer
certains ressentis, d'autant plus que des expérimenta teurs, sans se connaître, les
partagent. Lorsqu'une personne de grande sensibilité mais sans formation passe sur un
réseau d'énergie tellurique puissant, son ressenti est réel et ne peut être dénigré. D'autres
personnes, inconnues de la première, le partagent sans s'être concertées. Le même
phénomène, abordé avec méthode, fera l'objet de mesures, relatives certes puisque du
niveau du ressenti, mais comparable.
L'incompréhensible, pour un esprit cartésien, surgit lorsqu'une de ces personnes
modifie mentalement ces réseaux de telle sorte que les vérificateurs-témoins ne puissent
en douter, en exerçant leurs propres sens. Il surgit lorsqu'on explore les niveaux d'énergie
personnelle qu'on appelle « couches éthériques », faute de mots plus précis ou plus
adaptés. Mais la réalité de ces couches ne fait aucun doute aux yeux des novices
eux-mêmes qui en expérimentent avec leur corps la réalité.
Bien d'autres domaines restent incompréhensibles et pourtant vérifiables, comme
la prospection des sourciers sur plan, comme la rencontre avec le phénomène des
« entités familiales », comme l'aménagement invisible des lignes d'énergie autour et
sous les bâtiments sacrés...
Il existe de toute évidence d'autres plans de réalité que celle que nous impose
l'évidence du principe d'identité. Mentaliser un flux d'énergie n'est pas (encore?)
mesurable, et c'est pourtant une réalité vérifiable.
Il reste à souhaiter que les nouvelles recherches en neurologie et neuro-sciences
permettent enfin d'apporter la preuve de cette réalité dont nous n'explorons en
tâtonnant qu'une infinitésimale partie.
Avec un sentiment de vertige, plongeons dans ce grand huit : nous aborderons
des questions actuellement sans réponse...et elles sont nombreuses, grâce à la vie ! Pour l
de plaisir, car c’est un vertige heureux, Il est satisfaisant de découvrir ; il est tellement
plus excitant de chercher !